Location d’un logement : ce qu’il faut savoir pour 2023
Si vous êtes étudiant et que vous souhaitez vous installer seul ou en collocation en quittant le domicile familial, il sera nécessaire pour vous de louer un logement dans un premier temps. Et pour ça, à moins que vous n’ayez une place dans une résidence universitaire, il faudra trouver un petit appartement. Dans cet article, nous allons faire un petit tour d’horizon des changements dans l’immobilier en 2023 qui ont un impact sur les locations.
Il y a une hausse du montant des APL dès avril 2023
Première bonne nouvelle si vous avez de faibles revenus : le calcul du montant des APL (aide personnalisée au logement) a déjà eu droit à une hausse programmée en avril 2023 comme cela avait été le cas en 2022. Comme celle-ci est basée sur l’inflation, on estime qu’elle sera d’environ 1,7% au premier avril. Rappelons au passage que le montant maximum des APL est actuellement d’environ 300€ pour une personne seule en zone 1, ce qui fait qu’on peut s’attendre à une revalorisation de l’ordre de 5€.
A découvrir également : Louer dans un immeuble : quels sont les critères qui peuvent diriger votre choix ?
C’est toujours ça de pris si vous comptez loger en Île-de-France !
Vous ne pourrez plus louer un logement très énergivore
Autre nouveauté de taille qui a été mise en place dès le premier janvier 2023 : les logements les plus énergivores (classement G avec plus de 450 kilowattheures par m²) sont désormais interdits de location. Ce qui signifie que si vous vous rendez sur un site proposant des locations immobilières comme celui du groupe AFEDIM, vous n’aurez à votre disposition que des appartements avec un rang F dans le pire des cas.
A lire aussi : Quel est le coût d’une colocation à Toulouse ?
On peut dire que c’est une bonne nouvelle pour vous en tant que locataire : en effet, le prix de l’énergie ayant drastiquement augmenté ces dernières années, il est plus prudent de louer un appartement avec une bonne performance énergétique.